Avec une météo printanière, la multitude de bénévoles s’activent pour accueillir les participants, qui bien que nombreux, n’ont pas à attendre pour récupérer plaque et café de bienvenue ; nous regroupons à 8h les 7 adhérents prévus et dès la photo prise par Jean-Louis (Cro Rois’Team venu en nombre aussi), la horde se lance sur le 30, 43 et 54km.
L’échauffement est relativement rapide, car dès la traversée de la Départementale, nous tapons dans le dur avec une grimpette où se mêlent pierres et ravines ; c’est le type de terrain que l’on retrouve souvent sur les collines de La Londe et cela nécessite vigilance et réactivité, car les montées sont exigeantes et les descentes promptes à la sanction ; le balisage nécessite aussi pas mal d’attention, car assez minimaliste, d’autant que les superbes paysages nous incitent à profiter du spectacle.
Les ravitos sont bien positionnés et achalandés pour nous remette en état et reformer les groupes ; nous arrivons échelonnés entre 11h30 et 12h30 pour la plupart, si ce n’est Stéphane, qui après le second ravito décide de faire une petite sieste dans la forêt, enfin c’est ce que nous en avons déduit, suite à son heure de plus (des crampes seraient aussi responsables !); nous avons eu largement le temps de gouter le rosé local accompagné d’un peu de solide en écoutant les discours des « autorités » ; au final, belle 23ème édition avec plus de 1100 participants et une organisation au top !
Le parking est déjà bien chargé quand nous sommes arrivés, mais le 6 mousquetaires étaient là (ils se sont multipliés depuis!) et nous attaquons directement dans le dur, après la traditionnelle photo devant la monastère en travaux ; après un petit échauffement, nous prenons l’option qui pique avec la Montée des Allemands et Manu pourra confirmer qu’au sommet, elle parlait allemand (même s’il vaut mieux éviter de traduire) ; l’ascension est toujours aussi raide avec en bonus des pierres de partout laissées par les sangliers, mais cela permet de passer dans la forêt « enchantée » et nous terminons par la poussette jusqu’à la piste d’origine ; le détail par le point de vue des antennes sera l’occasion de disserter sur les îles et de refaire la géographie locale, puis nous passons aux fameuses Aiguilles de Valbelle toujours aussi démonstratives, avant d’entamer le retour en mixant DFCI et drailles ludiques ; la dernière variante voit le groupe se diviser en 2, avec certains pressés d’attaquer la binouze d’arrivée et d’autres tentant le contournement du Grand Bosquet et arrivant cependant à se diviser à nouveau, quand Stéph prend une tangente inattendue, Thierry ouvrant le bal et bibi le fermant : nous le cherchons un moment avant de tomber par hasard sur un couple de promeneurs (dont un collègue d’EDF) qui nous confirme son passage ; pas de soucis donc et on se retrouve au parking pour commenter cette sortie toujours aussi prenante, dans un décor atypique.
La Place de la Céramique nous accueille sous un ciel encore chargé, mais ce ne sera pas de mauvaise augure ; nous apprenons cependant que la 3ème boucle est réduite de 10km suite aux pluies diluviennes de la veille et à l’intensité de l’Huveaune sur certains guets devenus infranchissables ; nous examinons la carte des 3 parcours en trèfle avec le ravito commun et nous décidons de les faire dans l’ordre ; la première boucle rouge nous donne le ton avec de beaux singles bien techniques, où l’attention de chaque instant est indispensable, car la boue le dispute aux racines et aux pierres glissantes ; une heure et 10km plus tard, le premier ravito nous propose une multitude de sollicitations sur le bord de la rivière presque en crue ; nous repartons sur la seconde boucle verte, qui s’avère encore plus costaude que la première, que ce soit en descente ou sur des portages impossibles, on en a bien ch.. au propre et au figuré (@Thierry) ; second passage au ravito toujours bien équipé, puis direction la troisième boucle noire, raccourcie comme annoncée, mais très praticable néanmoins ; le balisage est toujours de qualité, mais il aurait été plus judicieux d’intervertir les couleurs entre la seconde boucle verte et la troisième noire, car cette dernière aura été la plus facile, même si elle se termine par la grosse montée de la Chapelle ; nous y échangeons nos impressions avec Emmanuelle et Jean-Louis qui auraient sûrement préféré ne pas faire la fameuse boucle verte ; tout le monde est cependant revenu au bercail sans bobo, c’est l’essentiel, il reste juste à nettoyer les montures, car elles sont en ruine et ont pris cher !!!!
La salle des fêtes étant en travaux, nous sommes accueillis dans l’arrière-cour pour l’inscription et la café de bienvenu par de nombreux bénévoles ; le vent s’est invité aussi, donc nous ne traînons pas trop au départ, juste le temps de saluer l’ensemble des participants du club ; nous partons tous sur le 33 et 43km, qui ont une grande partie du parcours en commun ; le balisage s’avère très efficace même s’il nécessite une attention de tous les instants ; l’alternance de drailles techniques et de liaisons DFCI nous fait découvrir de beaux paysages dans un premier temps au nord de Cabasse avec une vue sur le lac de Carcès, puis au sud après avoir traversé l’Issole, bien en eau à cette période de l’année, pour nous retrouver au premier ravito; la suite nous amène à l’ouest du village, où il faut rester vigilant, car à Cabasse définitivement ça tabasse ! la fin du parcours diffère pour le 43 avec une boucle complémentaire après un second ravito bienvenu, même s’il n’est pas des plus fournis ; tout le monde se retrouve à l’arrivée vers midi pour un apéro sympa, mais un peu light compte-tenu du prix d’inscription ; la qualité des parcours et l’investissement des nombreux bénévoles ont néanmoins comblé tous les participants.
C’est un plaisir que de se rendre à la rando de PIERREFEU, mais cette année elle ne fera pas recette auprès des adhérents de la section VTT car nous ne serons que 5 sur les 12 de l’année dernière. Inscription sur place, un café, rencontre avec des connaissances, photos et c’est parti pour profiter des parcours proposés. La météo est bonne, mais comme nous sommes partis assez tard, nous rencontrons peu de monde et profitons des belles drailles. Nous rejoignons assez vite le 1er ravitaillement, point de ralliement pour les boucles suivantes que nous emprunterons. Le balisage est assez efficace, car nous n’avons pas hésité dans les changements de directions. La première boucle nous amène en direction de COLLOBRIERES pour un passage au dessus du centre d’enfouissement, puis retour au ravito. Nous goûterons au passage de divers cours d’eau, la boue, de quoi se pourrir un peu. La 2ème boucle nous amène à l’opposé, en direction de la route entre PIERREFEU et HYERES. Quelques frayeurs sur la piste du Trayas, car elle n’est pas large, dévers, racines et pierres nous obligent à la prudence et à de nombreuses relances. Peut-être la partie la moins agréable du parcours. Nous tournerons autour de la Baisse de la Sorbière et du Rocher Pointu, point de retour de cette boucle au lieu dit Le Maupas. Le 3ème passage sera le retour pour rejoindre l’arrivée vers midi. Tout le monde se retrouve autour d’une collation avec les échanges de nos expériences. Merci aux Pierrefeucains organisateurs et bénévoles, qui nous ont permis de nous adonner à notre passion.
Le nouveau site de la Plaine des Sports nous accueille avec ses installations sportives et ses multiples parkings et il en faut pour accueillir les 600 participants (450 vtt et 150 marcheurs) attirés par cette 20ème édition : l’organisation déployée est à la hauteur avec une multitude de bénévoles pour l’accueil, l’inscription et tout au long du parcours ; nous démarrons à 8h30 dans un brouillard londonien et il faudra simplement monter sur le plateau à 200m d’altitude pour profiter de la vue sur l’étang de Berre ; le parcours reste très minéral avec pas mal de « coups de cul » et de beaux singles joueurs, qui secouent sérieux néanmoins, mais on est là pour ça ! Sur le 49km, il nous faudra attendre le 31ème km pour profiter de l’unique ravito bien équipé sur Saint Julien Les Martigues, puis nous repartons pour une seconde partie dans le même esprit avec un final d’anthologie sur un pierrier qui ne pardonne aucune erreur de pilotage ; nous nous retrouvons tous à l’arrivée pour débriefer et profiter de l’apéro final.
Arrivés tous (ou presque) sur le parking du collège du Beausset, nous commençons par récupérer les plaques et un café au gymnase et direction le départ sans tarder bien que le froid devrait nous inciter à rester au chaud ; la première partie nous fait traverser « les arrières » du Beausset entre les villas et les centres équestres, puis nous prenons la direction du nord en passant par Les 4 Frères vers le circuit du Castellet, ce qui nous permet d’attaquer une première boucle, dont une belle descente technique.
La seconde partie nous emmène sur le plateau de Signes et même si la température remonte, nous passons de temps en temps dans des ravins qui ressemblent à des glacières ; les portions roulantes alternent avec des drailles techniques où il faut rester vigilant, car tout est humide et certaines dalles peuvent surprendre ; la troisième partie, revient par Le Broussan et nous terminons par une belle section inconnue pour relier Le Beausset par le domaine Gueissard qui accueille le ravito final : une belle organisation nous attend avec saucisse, soupe chaude de légumes, du domaine, gâteaux des Rois…en plus de la tombola et des cadeaux de la Région ; comme le dénivelé global n’était pas énorme, nous terminons tous entre 11h30 et 12h, ce qui nous laisse du temps pour profiter de ces agapes ; retour sur 2km ensuite pour revenir au parking du collège avec une surprise, puisque Jean-Pierre arrose son anniversaire et remet à Didou et moi un sympathique cadeau au nom ses adhérents pour nous remercier de l’organisation de la Section VTT ; merci à tous pour ce geste inattendu d’une part et aux organisateurs de cette nouvelle rando que nous referrons volontiers.
Organisation originale, car nous n’avons même pas besoin de remplir un engagement pour participer, ce qui facilite l’inscription: le café avalé, nous attaquons rapidement, alors que le soleil se lève à peine et que le froid reste encore persistant jusqu’à 9h ; sachant qu’il n’y a qu’un seul parcours principal et des boucles complémentaires, nous doublons une multitude VTT parmi les 800 participants, dont certains qui ne semblent pas apprécier les VAE, mais c’est leur problème !
Le parcours très bien balisé permet à chacun de trouver son bonheur dans des Alpilles, qui s’avèrent ludiques, mais de taille réduite en terme de périmètre : le ravito principal sera donc visité une ou deux fois en fonction de la distance choisie, puis nous finissons par une traversée du site antique avant de contourner le village en passant sur la cascade du canal ; arrivés entre 11h30 et 12h15 toute l’équipe se réunie à table en mangeant la collation offerte ; nous repartons dès 13h en considérant que cette dernière sortie aura été une réussite à reproduite dans le futur.
Grande ? on cherche encore, car on a bouclé le grand parcours en 2h30 pour 35km, mais Noël pourquoi pas même si on n’a pas vu le Père, ni la Mère: arrivés avant 8h, nous devons attendre 8h30 le premier départ groupé et ce, sans café de bienvenu, ce qui n’est justement pas très bien venu ; le départ donné, il ne faut pas trainer pour éviter les bouchons intempestifs, car presque que des drailles et donc peu d’options pour doubler : ce qui implique de rouler vite avec le risque de rater un changement de direction, vu que le balisage est moyen ; bon, on a quand même pris notre pied, car le parcours était joueur avec pas mal de relances et quelques portions techniques ; ravito en cours et à l’arrivée corrects, sans être exceptionnels et une bonne ambiance, mais la prochaine fois, on tentera Manosque pour voir !
Nous sommes peu nombreux, mais le choix de ce tracé aura déjà permis à Didier et Henri de revenir pédaler pour profiter de cette belle rando : le départ est certes un peu frais, mais la traversée du hameau de la Tuilière nous envoie directement sur la première montée avec la piste des Camargues jusqu’au relais au col ; le temps d’une petite pause et la première descente nous amène au creux de la vallée à proximité du circuit de modélisme où une compétition a lieu avec une multitude de participants ; nous reprenons le cheminement au travers des vignes de Peirol jusqu’au Collobrier et son barrage en amont ; la remontée sur l’autre versant de la montagne se fait à un rythme régulier par la piste du Chamadou jusqu’au ravito habituel de la rando des Collines de Pierrefeu en mars ; c’est donc la dernière descente un peu plus technique, mais très abordable avant de retrouver le parking dès 11h15 pour un généreux apéro offert par Didier, nous avons en plus eu de la chance de ne pas trop ressentir le mistral qui était pourtant annoncé comme violent, donc superbe matinée au dans cette belle forêt des Maures.